Empreinte Ecologique OuverteBase de connaissance collaborative autour des méthodes de calcul de l'Empreinte écologique
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Demarche RC
Note : Cette façon d'imaginer comment nous allions travailler sur l'empreinte de la RC a vraiment émergé après un séminaire au cours duquel nous avons formalisé la méthodologie de l'EES. Lorsque nous parlons de modules, nous y faisons référence. Il est donc préférable de d'avoir visité la page qui s'y réfère pour mieux comprendre notre démarche.
Calculer l'empreinte d'une activité peut paraître assez ambitieux. Si l'on veut tout prendre en compte, ça peut rapidement devenir une usine à gaz où l'on se perd dans les données, les chiffres. Il a donc été nécessaire d'imaginer une démarche simple et de poser les hypothèses, dès le départ, en fonction des points sur lesquels on souhaitait mettre l'accent. Démarche envisagée pour la RCNous avons considéré 4 approches, allant du très général à des niveaux de précision plus fins.L'Empreinte approximative de la RCIci, l'idée est de calculer l'EE de l'alimentation de la RC en se basant sur celle d'un français moyen. Cette empreinte a été calculée par le GFN et est disponible dans les comptes nationaux.L'Empreinte brute des matières premièresIci, on s'attaque au module 1 (cf Methodologie EES). On calcule uniquement l'empreinte liée à la surface nécessaire à la production des denrées alimentaires. Elle ne prend pas en compte l'énergie utilisée pour cette production.L'Empreinte des pratiquesCette approche se réfère aux modules 2 et 3. Le but est de prendre en compte l'énergie liée aux aliments que l'on consomme. Cette énergie entre dans:
Notons que ces différents points sur lesquels nous souhaitons travailler sont directement en lien avec les pratiques que nous voulons caractériser et qui ont été mentionnées en amont du projet avec les critères BEPAS, Na-Vé et Arrêtons les Dé-Ga. Par exemple, travailler sur la transformation des produits par les industries agroalimentaires versus la préparation de plats "maison" pourrait permettre de montrer s'il est préférable d'acheter des produits issus des IAA plutôt que de les cuisiner soi-même ou non. L'Empreinte de repas-typeIci, c'est juste l'échelle d'analyse qui change : au lieu de se placer par rapport à une consommation annuelle d'aliment, les calculs se font à l'échelle d'un repas, ce qui permet de croiser plusieurs indicateurs (nutritiopnnels, économiques) et de comparer différentes façon de cuisiner, concevoir les repas...Travaux réalisés à ce jour1ère étape : mars-septembre 2007Durant cette période, nous avons travaillé et obtenu des résultats sur les points suivants :
Depuis mars 2008Mars 2008 : nous avons une nouvelle stagiaire dans l'équipe, Fanny, qui va essayer de caractériser l'empreinte écologique de différents modes de production agricoles et ce, pour différents produits (lait, carottes, porc...). Elle va se baser principalement, pour toutes les consommations énergétiques (engrais, phyto, aliments...), sur des résultats de bilan Planète, un outil d'évaluation des consommations énergétiques des exploitations agricoles développé par Solagro.En avril 2008, nous débutons l'étude ayant pour but de s'intéresser aux déchets générés par la cantine de notre site pilote. L'avancement du projet REPAS est résumé dans une lettre d'information à destination des partenaires du projet et à tous ceux qui s'y intéressent : Numéro 1 en Juin 2008 LettreREPAS1.pdf
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