Empreinte Ecologique OuverteBase de connaissance collaborative autour des méthodes de calcul de l'Empreinte écologique
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Methodologie EESL'empreinte simplifiée : comment ça marche ?Note : ces pages sont en cours d'édition, elles vont être complétées par des images, des tableaux et des trucs plus lisiblesAperçu sur la méthodologie de l'empreinteAu départ, qu'est-ce qu'on peut produire sur 1 hectare de terre ?La biocapacité établit un lien entre la surface de terre disponible et les matières premières brutes ainsi que l'énergie naturelle que cette terre peut produire (c'est ce que je peux tirer de ma ferme ou de mon île). L'empreinte donne le chiffre moyen, sur une année, de ce qui est produit sur 1 hectare de terre. Ensuite on prend en compte l'empreinte de l'activité de l'homme par rapport à ces ressources naturelles, parce qu'il émet des déchets, parce qu'il dégrade le sol (construction, artificialisation des espaces) et surtout parce qu'il utilise de l'énergie pour transformer les matières premières en produits pour les transporter (utilisation d'énergies fossiles essentiellement). Voir le schéma du GFN ci-contre. L'énergie, utilisée dans les modes de culture, la transformation et le transport, peut être renouvelable (soleil, bois...) ou venir des réserves de la terre (gisements de pétrole). Dans le 1° cas, l'empreinte est la terre qu'il faut pour produire la ressource naturelle (hectare de colza par exemple, qui a une empreinte réelle) alors que dans le 2° cas, elle est virtuelle (on calcule la surface de terre qu'il faut pour absorber le CO2 émis par la combustion de ces énergies non renouvelables). L'empreinte évalue ainsi ce qu'on consomme en direct (matières premières et énergies renouvelables) + ce qu'il faut comme surface pour absorber les déchets (CO2) et les surfaces de terre qu'on « dégrade ». Au départ, tout repose sur les Compte nationaux? du GFN, qui traduisent pour environ 170 pays l'ensemble des activités de l'homme en m2 (empreinte) ainsi que l'ensemble des réserves disponibles dans ces pays (biocapacité). Une hectare moyenne est établie pour tenir compte des écarts de productivité de la terre selon les pays. Ces comptes sont disponibles moyennant une participation modique aux travaux de recherche, et font l'objet d'un travail reconnu au plan mondial. Le problème ensuite est de traduire ces Comptes Nationaux au niveau plus fin, collectivité, entreprise, produit, usager... Voir pourquoi l'empreinte simplifiée. L'empreinte simplifiéeL'empreinte du GFN repose sur une matrice détaillée (Comptes nationaux), relativement complexe. Pour simplifier et permettre aux usagers d'appréhendre l'outil, nous proposons de :
Illustrations
Clé de lectureL'intérêt de l'initiative repose sur la mise en commun des travaux par filière / usage entre groupes d'usagers, ce qui permet d'améliorer la connaissance au fil des projets, en capitalisant sur les retours d'expérience. Cela permet aux nouveaux arrivants de bénéficier de l'expérience des prédécesseurs et d'améliorer le «code source» pour le collectif. C'est le modèle de Linux.Des colloques rassemblant les collectivités, scientifiques, experts, entreprises, citoyens ou ONG seront organisés pour dynamiser les échanges.
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et
thomas.plr
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