Pourquoi l'empreinte simplifiée ?

Note : ces pages sont en cours d'édition, elles vont être complétées par des images, des tableaux et des trucs plus lisibles

Au-delà d'une communication grand public (trois planètes, gestes simples type WWF), l'empreinte est compliquée à comprendre, expliquer et mettre en oeuvre, notamment pour les équipes techniques des collectivités, les institutions, les bureaux d'études ou les ONG.
Si les comptes nationaux et la méthode d'ensemble peuvent être compris et validés relativement facilement, la déclinaison aux niveaux suivants (compound / component, approche monétaire, calculs et scénarios pour une entreprise ou une collectivité) sont redoutables :

• Captation par des bureaux d'études, qui ont fournis un résultat mais pas les algorithmes et modèles sous-jacents pour des raisons marchandes. Ceci a deux conséquences : un coût prohibitif et une non pérennité de l'outil pour les usagers, ainsi qu'une perte de crédibilité (aspect « boîte noire »)
• Complexité de la collecte de données, qui doit impliquer de manière transversale divers acteurs. La réussite passe de notre expérience par un travail itératif, qui invite les utilisateurs à contribuer leurs données pour mesurer les actions qu'ils souhaitent prendre (empreinte du changement, mesure de leur action micro de manière précise en évitant la moyennisation des résultats, qui sinon « noie » leur action dans la masse)
• Et surtout difficulté à concevoir les modèles et les scénarios permettant de ramener les comptes nationaux à des modules de calcul opérationnels (simplification par exemple de l'empreinte de collecte de déchets en 4 grandes composantes – les camions, le fuel, les bacs en plastiques, les sacs)

C'est pour cela que nous proposons dans cet espace de partager la connaissance gratuitement, pour permettre en retour d'enrichir les hypothèses et les outils entre utilisateurs.